Depuis les premières manifestations de fragrances irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les visiteurs. Elle restait enfermée dans son ateliers, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, adoptant les formules d'avant avec suspicion. Les flacons contenant les accords tristes étaient minitieusement étiquetés